DECLARATION DE PRESSE DU S.G FESCI

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Du 29 Aout au 04 septembre avons-nous entrepris une vaste tournée de reconnaissance et de dynamisation dans nos différentes coordinations et sections à l’intérieur du pays, celles de la région du Gbèkè, en occurrence. Ainsi, la Fédération Estudiantine et Scolaire de Cote d’Ivoire (FESCI), de part ma voix, s’ouvre à votre quotidien pour faire le point de la situation sur notre séjour dans cette dite région, plus précisément, la ville de Bouaké. Il faut, d’entrée de jeu, noter que des faits majeurs ont marqué notre présence dans cette région, notamment, le « Prix de la Solidarité » qui m’a été décerné par l’ONG Vision Emergente et la tenue d’échancres fructueuses et cordiales avec les différentes organisations sœurs d’élèves et étudiants pour un bien fondé de l’intersyndical profitable à tous, c’est-à-dire, l’une des garantie essentielle et matérielle à la Non-violence en milieu Universitaire. C’est aussi le lieu de rappeler la très grande exhortation que nous avons fait aux uns et aux autres pour des élections apaisées dans notre cher pays.
Néanmoins, une question bien intrigante à bien retenu notre attention après de longs entretiens avec les camarades Responsables et Militants des différents coordinations du Gbèkè. C’est le faible taux étudiants boursiers de Bouaké. En effet, sur environ quinze milles étudiants que compte l’Université Alassane OUATTARA, seuls quatre-vingt dix-sept ont pu être retenus comme bénéficiaires de la bourses d’études 2014-2015, dont, Dix admis en faculté de Droit, Treize en faculté de CMS, Quarante-six en faculté de Sciences-économiques et Vingt-huit en faculté de Médecine. Ceci est beaucoup regrettable et inacceptable, malgré que les bourses au lieu quelles soient des bourses d’études, elles sont toutes payées en vacances, on pourrait dire que c’est désormais des bourses de vacances. Vivement, que notre Ministre de tutelle, Mr Niamien KONAN se penche sur cette situation des étudiants pour faire toute la lumière et situer les responsabilités qui s’imposent.
Nous étudiants, souffrons déjà de la précarité sociale sans pareille aucune pour poursuivre nos études dans des conditions descentes. nous notons par exemple, le manque des frais de transport, de restauration et autres besoins afférents à nos conditions de vies et d’études, surtout. En un mot, la FESCI, demande incessamment au Ministre d’agir efficacement pour revoir ce taux faible d’attribution de bourse à la hausse pour le bien être d’un plus grand nombre d’étudiants de l’Université Alassane OUATTARA.
Pour la FESCI, le camarade ASSI FULGENCE Secrétaire Général National

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