Le phénomène de l’immigration clandestine qui prend de plus en plus d’ampleur dans nos pays est un véritable fléau qui mine nos societe.ces, jeunes hommes et femmes, fuient chaque jour la pauvreté, la misère et la famine en Afrique pour s’aventurer dans la mer méditerranée au péril de leur vie faisant ainsi de l’océan atlantique un vaste charnier.
Pour empêcher cette fuite de cerveaux, les gouvernants et les ONG entendent mettre la main à la patte pour sensibiliser les populations. C’est dans ce sens que l’ONG vivre organisé le mercredi 03 juin 2015 une soirée de sensibilisation sur l’immigration clandestine à l’ancienne mairie de Cocody.
Pour son président, M. Soumahoro Alpha yaya, l’objectif de l’ONG et de cette soirée particulièrement est de sensibiliser les futures candidats a l’immigration et interpeller le pouvoir publics sur l’ampleur du phenomene.la sensibilisation se faisant avec des outils, l’ONG a donc pris pour référence les deux ouvrages du ministre Maurice Bandaman qui traitent de l’immigration : le paradis français et l’eternel amour. Par meilleur personne pour en parler que l’auteur lui-même.
Le ministre Maurice Bandaman à féliciter l’ONG « VIVRE » pour cette belle initiative.
Il a ensuite fait remarquer que l’écriture de ces romans est le produit de chocs : « le fait de voir en France des blancs mendier, dormir en bordure des rues et les conditions difficiles des noires acharnés a y aller a tout prix de ce pays qu’ils considèrent comme l’eldorado m’ a fait découvrir la réalité et m’a donnée la sagesse ». C’est pourquoi, avec l’aide du témoignage poignant de certains clandestins en France, il entreprit d’écrire ces récits pour sensibiliser la jeunesse parce que derrière ces mariage luxueux, se trouvent de « grands réseaux de proxènes »pour lui, la règle de toutes réussite est le travail. Les populations africaines, si elles veulent réussir doivent se mettre au travail. « le paradis, ont le trouve chez soi » a t’il ajouté. Les gouvernants doivent jouissent créer l’environnement propice à l’épanouissement de leur population car nous ne pouvons pas exporter nos souffrances, a-t-il conclu.
La sensibilisation a été accentué avec les témoignages vibrant et poignant d’un ex immigré clandestin, M.Diaby et celui de cette dame de cœur, Mme Bakayoko qui a vue mourir des immigrants clandestin en Arabie Saoudite et qui en a aidé plusieurs.
La soirée a pris fin par des échanges entre participants en vue d’énumérer des pistes de solutions.