La première édition des Journées Nationales des Exportateurs de Cajou de Côte d’Ivoire (JNEC_CI) s’est tenu les 24 et 25 février 2017 au Radisson Blu ,à Abidjan .

La première édition des Journées Nationales des Exportateurs de Cajou de Côte d’Ivoire (JNEC_CI) s’est tenu les 24 et 25 février 2017 au Radisson Blu ,à Abidjan .

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Initiées par l’Association des exportateurs de Cajou de Côte d’ Ivoire (AEC-CI), ces journées ont eu pour thème principal: « Emergence de la filière de cajou en Côte d’Ivoire et défis liés à la commercialisation extérieure ».
A travers, ces journées nationales ,il a s’agit pour l’Association des exportateurs de cajou de Côte d’Ivoire (Aec-ci) de constituer une plateforme d’échanges entre acteurs au plan national et international et ce, dans l’optique de relever les défis du secteur et améliorer la qualité du cajou.
Al’ouverture de l’évènement, ce vendredi 24 février, Diaby Aboubacar, commissaire général de ce symposium, par ailleurs, président de l’Aec-ci, a rappelé les bonnes performances de la filière cajou ivoirienne (leader mondial avec plus de 680.000 T en 2016). Des performances qui ont permis une augmentation substantielle du chiffre d’affaires du secteur passé de 165 milliards de fcfa en 2013 à 441 milliards de Ffca en 2016. « Tous ces chiffres sont le résultat des réformes mise en œuvre depuis 2013 » a-t ‘il souligné.Selon lui, l’objectif principal de ces journées nationales des exportateurs répond au souci de professionnaliser le métier d’exportateur afin d’accroitre les revenus du monde paysan.
Quant à monsieur Coulibaly Adama, Dg de la filière coton anacarde, représentant Mamadou Sangafowa, ministre de l’agriculture et du développement rural, il a estimé qu’à travers ce symposium, les exportateurs de cajou donnent une lisibilité à la filière et à la Côte d’Ivoire. il a souligné que « le cajou ivoirien va bien.» D’autant que « la filière est dans une dynamique de professionnalisation ».
Représentant le Premier ministre Amadou Gon, Souleymane Diarrassouba, ministre du commerce, de l’artisanat et du développement des Pme, a insisté sur l’importance de la transformation. Pour lui, il faut donner les moyens aux acteurs pour que le cajou connaisse une valeur ajouté avec l’augmentation du taux de transformation qui devrait passer d’environ 10% actuellement à 100% en 2020. Il faut selon lui que les exportateurs d’aujourd’hui soient les transformateurs de demain.
La Côte d’Ivoire est le premier pays exportateur au plan mondial avec une production qui est passée de 350 000 tonnes en 2010 à plus de 602 000 tonnes en 2016, soit en évolution de plus de 72%.
La campagne 2017 de commercialisation de la noix de cajou s’est ouverte à la mi-février avec un prix indicatif de 440 FCFA/kg, soit 90 FCFA de plus que le prix d’achat bord champ qui était de 350 FCFA/kg en 2016.

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