Ivoiriennes, Ivoiriens, mes chers frères et sœurs, amis de la Côte d’Ivoire. Avant tout propos, je voudrais partager avec vous ma joie. En dépit de la décision inique du Conseil constitutionnel, je suis heureuse. Heureuse car le Nouvel Ivoirien Côte d’Ivoire nouvelle, mon parti est devenu votre parti. Heureuse car, cette course à laquelle nous avons pris part a montré en quelques mois la soif de changement de nos populations. Je voudrais donc vous dire merci pour le soutien sans failles que vous m’avez apporté et que vous continuez d’apporter dans cette noble ambition qui est de restaurer notre pays. Ivoiriennes, Ivoiriens, mes chers frères et sœurs, amis de la Côte d’Ivoire. Le 14 septembre 2020 dernier, la Côte d’Ivoire et le monde entier ont assisté à un spectacle honteux et triste pour la démocratie dans notre pays. Nous avons eu droit à une véritable parodie mettant en scène un juge constitutionnel usant de prétextes fallacieux pour assouvir les désirs du pouvoir d’Abidjan. Quelle honte ! En dépit de ce simulacre d’audience du Conseil Constitutionnel, le NICIN se réjouit de cette occasion qui révèle au monde entier l’absence de institution forte, de justice avec des juges qui, de façon flagrante ont démontré leur incapacité à dire le droit car refusant de s’appuyer sur la loi fondamentale qui est la constitution. Il nous est même parfois arrivé de sourire devant les énormités successives du président du Conseil Constitutionnel. Pour nous, le spectacle auquel nous avons assisté ressemblait fort bien à une pièce de théâtre où les acteurs n’ont fait que respecter le scénario pensé et dicté par le pouvoir en place. C’est donc sans surprise que les acteurs dans un décor visiblement surchauffé, ont naturellement retiré 40 candidats sur la liste des prétendants à la magistrature suprême. Ivoiriennes, Ivoiriens, mes chers frères et sœurs, amis de la Côte d’Ivoire. Encore une fois de plus, le travail qui nous attend est colossal car nous réalisons que tout est à refaire avec ce que nous ont démontré les juges du Conseil Constitutionnel. Comme le dit la bible selon proverbe...c’est par la justice qu’une nation s’affermit ! La crise préélectorale que vit la Côte d’Ivoire n’est pas le seul fait du chef de l’Etat mais de toute la classe politique et de toutes les institutions qui s’y rattachent. Mais croyez-nous frères, sœurs et sympathisants du NICIN, nous sommes plus que jamais confiants pour la suite des évènements car nous croyons que Dieu ne se dédie pas. C’est pourquoi nous avons la ferme conviction que ce qu’il dit, il le fait. Le NICIN en tant que parti Divin, nous gardons la foi en celui qui établit la Justice et qui en est le législateur par excellence, l’Eternel Dieu créateur de l’humanité. Il restaurera cette justice écornée par l’égarement des juges du Conseil constitutionnel. Et cela, pour le bonheur des Ivoiriens afin de retrouver un réel Etat de droit avec à sa tête Marie-Carine Bladi comme Présidente de la République tel que Dieu l’a prévu. Car quand Dieu dit oui personne ne peut dire non. Frères, sœurs et sympathisants du NICIN, demeurerons toujours en prière et continuons à appeler à demander à Dieu de prendre le contrôle de toute chose afin de sauver et de libérer la Côte-d’Ivoire. Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire. Que Dieu bénisse les Ivoiriens. Marie Carine Bladi, presidente du Nouvel Ivoirien Cote d'Ivoire Nouvelle (NICIN)