La remise du prix de la première édition du Grand Jeu Concours inter-écoles des Excellent Adolescents (Excell’Ados2023) s’est tenue le 11 janvier 2024 au lycée Mamie Faitai de Bingerville en présence du DG de la RTI représenté par David MOBIO, Conseiller spécial du DG, L’ong Américaine GEDUS NETWORKS, la Représentation Pays , de L’inspecteur général Afrique -Asie Mr Promo Kouakou Alexis qui était représenté, de la Direction du Programme de Protection des Enfants et Adolescents Vulnérables,(PPEAV) au Ministère de la Femme, Famille et l’enfant, de la Direction des Œuvres Universitaire et de la Vie Associative et du Genre (DOUVAG) du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de Mme le Directeur Régional de L’ Éducation Nationale et de l’Alphabétisation Abidjan 1, du Commissaire de Bingerville, et du Groupe Rasalao.
L’objectif de ce concours est de promouvoir l’excellence en éradiquant la sexualité précoce et la toxicomanie en milieu scolaire. De sensibiliser davantage les jeunes et les parents pour un meilleur suivi des élèves et des Adolescents.
À cet effet, le Commissaire Général, Dr YAPI Ghislain, Président Fondateur et PCA Confédération Mondiale EXCELL « ADOS, et dont les membres sont plusieurs Faîtières communales,des Fédérations et ONG engagées pour une Jeunesse Excellente conformément à vision du Président de la République, SON EXCELLENCE MONSIEUR ALASSANE OUATTARA. a profité de l’occasion pour faire la remise du Prix Fausséni Dembélé, Directeur Général de la RTI et le lancement officiel de la deuxième édition d’Excell’Ados 2024.
Prenant la parole Mme Coulibaly Tortia Proviseure du Lycée Mamie Faitai de Bingerville a témoigné toute sa gratitude au Directeur Général de la RTI et aux organisateurs de ce Jeu Concours inter écoles des Excellents Adolescents avec à leur tête , le Dr Ghislain Yapi.
« C’est une très bonne initiative. En plus de l’excellence, ces activités éloignent des jeunes filles les différents fléaux qui minent la vie de la jeunesse. Nous exhortons les jeunes filles à terminer leurs études. Éviter surtout les grossesses en milieu scolaire ».
Elles sont au nombre de 18 récipiendaires issues des classes de Seconde à la Terminale A et D qui ont été lauréates de la première édition du concours inter-écoles.
C’est un don de plus 02 millions de nos francs qui ont été décernés à ces jeunes filles. Elles sont réparties avec des tablettes éducatives et plusieurs lots des différents partenaires associés à ce Jeu concours qui réunit plusieurs écoles des différentes communes d’Abidjan.
Au titre de l’année 2024, 16 écoles seront en compétitions dans le District Autonome Abidjan.
Les Rubriques qui soutiendront cette 2 éme édition sont les suivants: Pièces théâtrales, poésie, Atelier.
Selon le Commissaire Général, Dr Ghislain Yapi,Expert en Prévention des fléaux qui minent la jeunesse et créateur du concept de la Théorie des Ados ( livre de famille): « Excell’Ados est une ONG qui prône l’excellence. Ce concours a été institué pour promouvoir l’excellence en éradiquant la toxicomanie et les grossesses précoces en milieu scolaire. IL est donc important d’initier ce genre de concours afin d’ inculquer les valeurs sociétales qui peuvent permettre aux jeunes de s’orienter positivement, d’éviter la toxicomanie, la drogue et surtout aux jeunes filles de ne pas s’adonner à la facilité. Nous encourageons les parents à échanger et à communiquer avec leurs enfants, de ne pas avoir peur d’évoquer des sujets tabous comme la sexualité. Nous, en tant qu’éducateur du système éducatif et praticien, on joue notre rôle. Aux enfants, on leur demande d’opter pour deux grandes valeurs qu’est la discipline et le respect.(…) » a -t-il déclaré.
Des formateurs sillonneront comme de coutume, plusieurs écoles pour une vaste campagne de sensibilisation en faveur des adolescents.
Pour rappel, selon un rapport de l’UNESCO, se sont 3600 jeunes filles en milieu scolaire qui portent des grossesses.
Ces grossesses surviennent en majorité entre 15 et 17 ans. Environ 70 % des femmes qui tombent enceinte en milieu scolaire arrête les cours, mais seulement 7 % parmi celles qui arrêtes, reprennent les cours après l’accouchement.
Josué Koffi
