Ce samedi 08 Aout 2015,à l’hôtel belle côte à la rivera palmerais ,sous le parrainage du doyen Bernard B.DADIE président du CNRD s’est déroulé une conférence débat sur la problématique de la réconciliation nationale en Côte d’ivoire. Organisé par l’ONG Solidarité pour Laurent Gbagbo cette conférence débat eut pour thème : « situation sociopolitique : quelles conditions pertinentes pour une véritable réconciliation nationale ?»
Selon le président de l’ONG Solidarité pour Laurent Gbagbo, monsieur Maurice LOHOURIGNON : « parce que le destin de la Côte d’ivoire est gravement compromis et risque de l’être durablement tant que Laurent Gbagbo est injustement maintenu dans les liens de la détention, sa libération et celle de tous ceux qui par fidélité à son combat croupissent encore dans les geôles de la dictature de Alassane Ouattara, apparaissent comme l’unique solution pour libérer la Côte d’ivoire et l’Afrique. C’est pour contribuer à la réalisation de cette attente collective, pour redonner espoir aux ivoiriens en la vie, pour faire renaître la Côte d’ivoire à elle-même, à l’Afrique et au Monde et pour aider à réhabiliter l’homme que le doyen Bernard B Dadié et ses amis ont appuyé encadré et soutenu la création du mouvement ‘’ solidarité pour Laurent Gbagbo’’.»
Dans son allocution d’ouverture le Doyen Bernard Dadié ,président du CNRD dit : « réconcilier c’est rétablir des relations amicales entre personnes brouillées .c’est faire cesser le désaccord qui existait avec quelqu’un dit le dictionnaire de Larousse française .cela implique donc la présence de deux protagoniste .or dans le cas particulier de la Côte d’ivoire ,l’un des protagonistes a été fait prisonnier par l’autre et parler de libération déclenche des réactions insoupçonnées de colère avec des conséquences imprévisibles. Devons-nous pour autant renoncer à parler de réconciliation ? Non car aujourd’hui plus que jamais notre pays la Côte d’ivoire a faim de plusieurs faims :faim de libertés.de toutes les liberté d’expression, de manifester, elle a faim de dignité ,faim de pardon ,faim de justice ,faim de paix et d’expérance.il nous faut donc combler ces faim pour pouvoir continuer à vivre ,à être aimé et pour exister en tant que nation.et tout cela ne sera possible que lorsque tous les fils et filles de ce pays sans exclusion ,c’est-à-dire avec le président Laurent Gbagbo ,seront assis et se regardant dans les yeux pourront discuter ».