Je VOUS DEMANDE DE VOUS JOINDRE À NOUS, LE CB KAN SAILL ET MOI, POUR LOUER NOTRE DIEU.
Nous avons frôlé la mort ce mercredi 2 avril 2025.
Le Président que je suis a adressé un certain nombre de courriers que nous suivons de demandes d’audience auprès de nos autorités, dont :
– Le Premier ministre,
– Le Ministre de l’Intérieur,
– Le Gouverneur du District d’Abidjan.
Le Gouverneur CISSE Bacongo a imputé le sien à un de ses conseillers à Koumassi, que nous sommes allés croiser pour obtenir une réponse.
À notre retour, dans un embouteillage monstre sur le pont Général de Gaulle, notre voiture a été fracassée par une voiture d’escorte de LA POLICE SOTRA, qui ne s’est pas arrêtée.
Nous l’avons suivie pour un éventuel constat, puisque notre voiture était endommagée.
Ils étaient ARMÉS jusqu’aux dents, mais nous ne le savions pas.
Nous avons réussi à les rattraper au Plateau.
VERITABLES SCÈNES DE WESTERN, mes collègues.
Les fusils pointés vers nous, prêts à déclencher.
C’EST LÀ QUE LA MAIN DE DIEU EST INTERVENUE pour dire que nous ne sommes pas des braqueurs et que les ARMÉS ont endommagé notre voiture.
Nous les avons suivis jusqu’à VRIDI, où leur chef a présenté des excuses et a loué DIEU.
De l’accident provoqué par ses éléments, nous aurions pu connaître un incident majeur, car d’autres ont la gâchette facile.
Et nous ne serions plus là, car on nous aurait considérés comme des braqueurs.
Nous ne serions plus de ce monde, laissant nos familles et nos employés pour la cause de l’imprimerie ivoirienne.
Cela donne à réfléchir dans CETTE LUTTE BÉNÉVOLE.
À pareille heure, le sommeil me manque en revoyant la scène du jour.
Mes collègues, je vous laisse avec les larmes de joie aux yeux.
Un Président ne pleure pas.
Le Président,
Étienne KOUYA