Ce Mardi, 05 Décembre 2017 à Abidjan -Plateux s’est tenu une conférence de presse animé par M. Désiré Yaméogo président de la CONVERGENCE DES PEUPLES POUR LA PROMOTION DU TRAITE D’AMITIE ET DE COOPÉRATION IVOIRO-BURKINABÉ (COPTAC).au menu de cette conférence de presse il y avait:
1- Situation de la mise en œuvre partielle à mis parcours des résolutions du tac 6. 2- Bilan des activités de la COPTAC. 3- Présentation des lauréats de la 1ère édition du GRAND PRIX DU TAC.
voici comme suite ces propos liminaires:
Mesdames et Messieurs les Journalistes et hommes de médias ; Distingués invités ; Chers membres du bureau; Chers responsables des cellules de régions et sympathisants de la Convergence des Peuples pour la promotion du Traité d’Amitié et de Coopération Ivoiro-Burkinabé en abrégé COPTAC.
Avant tout propos, permettez que nous vous adressions nos sincères remerciements, pour l’honneur que vous nous faites ce matin, à travers votre honorable participation à cette Conférence de Presse qui se tient dans l’enceinte de la ‘’Maison de la Presse’’ de la république de Côte d’Ivoire sis à Abidjan /Plateau.
Il faut indiquer que le choix de cet endroit est assez évocateur pour notre structure la Convergence des Peuples pour la Promotion du Traité d’Amitié et de Coopération Ivoiro-Burkinabé (COPTAC) ; pour la simple raison que nous accordons une grande importance à la presse, grâce à qui nos activités auront un impact en matière d’information auprès des populations.
C’est pourquoi, nous estimons que notre présence ici, est une opportunité pour l’ensemble des populations ivoiriennes et Burkinabé de découvrir notre engagement exemplaire et existentiel pour un développement harmonieux qui met en exergue l’intégration socioculturelle, économique entre nos deux peuples. La perspective recherchée, c’est de parvenir à un réel développement qui traduira l’épanouissement sans pareil des deux populations avec pour socle l’intégration et la solidarité agissante comme fer de lance.
Pour l’histoire de notre structure, nous avons estimé que les rapports interétatiques étant impersonnels et basés sur le principe sacro-saint de la continuité, nous peuples de Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, dans un esprit d’émancipation et nourrissant l’espoir de constater un changement positif et perpétuel dans le processus de développement de nos deux jeunes nations, avions décidé de créer le 9 juillet 2016 à Abidjan, une plateforme dénommée: « Convergence des Peuples pour la promotion du Traité d’Amitié et de Coopération Ivoiro-Burkinabé en abrégé COPTAC ».
Cette initiative est un moyen pour nous d’apporter un plus à cette relation qui au-delà des deux nations devra impacter la vie des deux peuples. Notre mission principale est la recherche constante du « bien être » des deux populations comme précédemment cité.
Pour donner des explications sur le caractère officiel et légal de cette relation entre ces deux pays, nous rappelons ici que l’amitié entre les peuples et la collaboration entre pays ont été érigés par l’Organisation des Nations Unies (ONU), comme gage de préservation de la paix dans le monde. Par conséquent, les impératifs économiques et les objectifs de développement ont poussé les états à établir des liens de coopération et de partenariat à travers des réseaux de relations diplomatiques synonyme d’un développement irréversible, dont l’exemple de la France et l’Allemagne en est une illustration parfaite.
Le Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) entre la République de Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, aujourd’hui, est l’un des exemples de réussite au du Sud-Sahara, traduisant ainsi en acte concret les principes de coopération et d’intégration d’une manière générale au vu de la progression de la mise en exécution des décisions issues des rencontres inter gouvernementales des deux pays.
S’inscrivant ainsi dans notre idéale d’intégration et surtout à la philosophie du TAC, une section a été créée au Burkina Faso et placée sous la responsabilité d’un Coordonnateur national de nationalité ivoirienne répondant au nom de Monsieur Charles TEHI, par ailleurs, Président de l’Union des Ressortissants de Côte d’Ivoire au Burkina (URECIB).
Cette démarche sera suivie de l’implantation très prochaine des démembrements de la structure dans l’ensemble des régions du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire, afin de se rapprocher davantage des populations pour mieux cerner leurs différentes préoccupations et faires des propositions de solutions aux gouvernants.
Le but principal de toutes ces actions, est axé sur la protection et la promotion de la plateforme bilatérale la plus importante à notre sens, c’est-à-dire : « le Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) entre la République de Côte d’Ivoire et le Burkina Faso », signée en 2008 à Ouagadougou par les deux chefs d’Etats d’alors.
Harmonieusement et avec des moyens conventionnels, tous les démembrements de notre structure, à travers la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, veillerons à la réalisation de toutes les clauses issues des travaux et signées par les deux chefs d’états. C’est un impératif pour nous de susciter un engouement populaire autour de cette plateforme car nous avons la plaine conscience que cet engouement tant recherché faciliterait la mise en œuvre des conclusions pour une situation irréversible de l’éclosion socioéconomique, culturelles et politique devant provenir de cette coopération.
A cet effet, nous adressons un vibrant hommage à toutes les personnes, quelques soient leurs rang social, qui depuis l’avènement du TAC, ont donné de leur temps et de leur énergie pour la matérialisation et la survie de cette philosophie dont la fraternité et l’amitié sont en première ligne.
C’est pourquoi, nous félicitons nos deux pays à travers leurs gouvernements et principalement les deux chefs d’états pour l’esprit d’intégration et de développement dont ils s’attèlent à réaliser pour le bonheur de leurs populations, à travers les grands projets définis et identifiés de commun accord, comme le stipule clairement les clauses des différents TAC.
Nos remerciements vont à l’endroit de Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire, qui déclarait lors du 5ème sommet TAC à Yamoussoukro, qu’il se félicitait de la redynamisation et la poursuite du TAC. Tout en relevant que de grands projets ont été identifiés, notamment le projet de la construction de l’Autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou et la réfection du chemin de fer Abidjan-Ouaga-Kaya et de son prolongement à Tambao. Ces mêmes remerciements sont également adressés à Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian Kaboré, Président du Faso, qui déclarait à son tour que : « L’amitié et la coopération entre la République de Côte d’Ivoire et du Burkina Faso ont survécu à nos prédécesseurs et il ne fait aucun doute qu’elles nous survivront aussi. Ensemble nous saurons relever le défi d’une coopération exemplaire entre les peuples burkinabè et ivoirien». Vu la spécificité de notre structure, nous nous considérons désormais comme un partenaire technique indispensable de l’exécutif du TAC, avec pour mission première de contribuer à l’animation de cette plateforme dont la réalisation des clauses soulagerait fortement nos populations.
A cet effet, nous formulons le vœu que les autorités accèdent à notre sollicitude au cours de l’année 2018, en prenant toutes les dispositions nécessaires pour nous accompagner dans toutes nos actions qualifiées de citoyennes, à travers nos deux pays. Cela nous permettra de remplir efficacement notre mission pour le bonheur de nos populations.
Aussi, vu la pertinence de nos actions, nous proposons notre intégration officielle dans le groupe des experts lors des prochains TAC en tant que structure spécifique de développement, afin de participer aux travaux précédent la conférence au sommet des chefs d’Etats et de gouvernements, cela dans l’objectif que nous proposions des orientations adéquates pour des résolutions dont l’application immédiate impactera la vie de nos deux peuples. Tout en appréciant la première rencontre du comité conjoint de suivi et évaluation du TAC à Bobo-Dioulasso l’an dernier, nous demandons que les orientations de ce démembrement structurant de l’exécutif du TAC soient réellement prises en comptes pour le bonheur des populations ivoiriennes et burkinabé
Lors des conclusions du comité de suivi et évaluation à la rencontre de Bobo-Dioulasso, il a été constaté une avancée importante dans la réalisation des projets identifiés bien que des efforts restent à faire. En exemple de projet, nous pouvons citer :
La construction de l’autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou et la réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou-Kaya.
A ce niveau, nous saluons l’effectivité du démarrage des travaux effectués par la partie Burkinabé qui a procédé, sous la conduite du responsable du Projet d’Autoroute Yamoussoukro-Ouagadougou « PAYO », au tracé du tronçon Ouagadougou-Bobo-Dioulasso au cours de la première quinzaine du mois de novembre dernier. Nous profitons ici pour saluer le ministre Eric W. BOUGOUMA, Ministre des Infrastructures du Burkina Faso et de son homologue Amedé KOUAKOU de la Côte d’Ivoire pour leur engagement à faire respecter ce qui a été promis aux deux peuples en terme d’infrastructure routière selon la volonté des deux chefs d’Etats. C’est ce qui leur vaut d’ailleurs le statut de lauréat du ‘’Grand Prix du Tac 2017 ’’ au même titre que le Ministre du transport Monsieur Amadou KONE dont la responsabilité dans la réussite de projet est assez établit.
Concernant la réhabilitation du chemin de Fer Abidjan-Ouagadougou- Kaya, c’est avec beaucoup de satisfaction que nous avons participé au lancement des travaux de réhabilitation le lundi 4 Décembre 2017 , c’est-à-dire hier, à la gare ferroviaire du plateau ou un cérémonial à la hauteur de l’œuvre à été dite pour le lancement des travaux en présence du ministre de l’intégration et des ivoiriens de l’étranger ,Monsieur Ali Coulibaly, du Ministre Amedé Koffi KOUAKOU , des infrastructures économique et du Ministre du transport burkinabé, Monsieur Souleymane SOULAMA et du représentant spécial du président du Groupe Bolloré .
C’est le lieu pour nous d’interpeller le Groupe Bolloré, attributaire de ce projet dont les négociations avec la partie étatique ont durée quatre ans, que nous seront assez regardant lors des travaux afin de s’assurer de la bonne qualité du travail qui sera abattu, même si nous ne doutions pas de l’équité et du bon esprit de cette multinationale française dont la renommée n’est plus à démontrée.
La libre circulation des biens et des personnes.
Sur ce point, nous constatons une fluidité routière assez améliorée à travers la réduction des points de contrôle. Mais nous regrettons, la persistance des tracasseries de nos concitoyens aux différents des corridors. Cette situation oblige les victimes à débourser la somme minimum de 1000 FCFA avant de pouvoir franchir les deux corridors, au risque de se voir confisquer ses pièces, même étant à jours pour la plus pars des cas. Nous demandons aux gouvernants de procéder à la destruction des maisons de fortunes qui servent de lieux de pression et de chantage sur les voyageurs dans le seul but de leurs soutirer à contre gré des sommes d’argent pouvant aller de 1000 FCFA à 10.000 FCFA selon la mentalité des personnes en face. C’est pourquoi, nous souhaitons vivement, la construction du poste de contrôle juxtaposé (PCJ) de Laleraba décidée lors des travaux et signée par les deux chefs d’états.
L’amélioration de la coopération Judiciaire et sécuritaire.
Sur ce chapitre, nous croyons aux respects de la liberté de la justice car beaucoup d’efforts ont été accomplis. Ce même constat est aussi observé sur le plan sécuritaire et nous estimons que bien que cette coopération soit excellente, nous souhaitons croire à sa pérennisation afin d’assurer la sécurité et la défense de nos territoires.
En outre, dans le cadre du financement des projets des jeunes, des femmes et de la jeune fille, dont l’objectif est de lutter contre la pauvreté grandissante dans ces couches de la société. Il a été convenu de la mise en place d’un Fonds Commun. C’est avec beaucoup de joie que nous avons assisté à la matérialisation de ce fond sur une communication des deux ministres de la jeunesse et de l’emploi lors de la convention nationale de la jeunesse tenue au Burkina Faso dans le mois de novembre dernier, un fond de deux cent millions (200.000.000) Francs cfa a été alloué. Nous demandons à nos autorités de mettre à profit toutes les conclusions du 6ème TAC qui a eu lieu au Burkina Faso du 13 au 18 Juillet 2017 dernier, pour accélérer l’effectivité de la réalisation des projets décidés de commun accord lors du TAC 6 ET précédents, afin de mettre fin à la souffrance des populations.
En sus, c’est le lieu pour nous de demander aux deux chefs d’Etat et leurs gouvernements de faire sienne la promotion de la Paix et la cohésion sociale, gages du développement et susceptible de mettre en avant l’homme comme valeur et préoccupation centrale.
Au titre de l’intégration de nos deux peuples, il est de bon aloi que nos autorités politiques et coutumières, dans un esprit de solidarité initient des cadres de rencontres périodiques et propices à la mise en exergue du vivre ensemble des peuples Ivoiriens et Burkinabè. La tenue de notre Panel avec pour thème : « Abords stratégiques des conflits intercommunautaires : Contributions de la chefferie traditionnelle. », le 27/09/2017 à Ouagadougou, répondait à cet appel.
Pour la parenthèse, les résultats des traveaux seront bientôt confinés dans un livre qui servira de moyens de règlement des conflits intercommunautaires, comme l’a recommandé les participants lors de la clôture des traveaux.
Au titre de la coopération, nous saluons les initiatives des autorités ministérielles et les structures étatiques qui chaque jour s’attèlent à la consolidation de la coopération à travers les échanges dans leurs différents champs d’actions.
En illustration, nous pouvons citer, le déplacement du Ministre Adjoumani Kouassi KOBENAN, ministre des Ressources Animales et halieutiques de Côte d’Ivoire sur Ouagadougou pour s’enquérir des techniques en matière d’élevages et autres. Aussi avons noté la présence de Monsieur Sidi TOURE, ministre ivoirien de la promotion de la Jeunesse de l’emploi et du service civique, qui en marge de la des Etas généraux de la jeunesse qui a eu lieu du 15 au 18 novembre 2017 à Ouagadougou, a été à Ziniaré, dans un centre technique pour partager son expérience en matière de formation de la jeunesse. Etc…
Parlant de bilan de nos activités, depuis notre existence, un accent particulier a été mis sur la sensibilisation des populations afin que celles-ci s’approprient le TAC, qui constitue un gage de développement et de stabilité comme nous l’évoquions plus haut. A cet effet, des activités essentiellement basées sur :
La mobilisation autour du TAC ;
la promotion de la solidarité ;
la Promotion de la cohésion sociale à travers des déclarations sur notre page facebook (Pour en savoir plus taper COPTAC sur Google) et dans les medias ;
Et les encouragements aux initiatives de développement dans tous les différents domaines d’activités ont été entrepris tant au Burkina Faso qu’en Côte d’Ivoire, avec plus d’actions au Burkina Faso pour la simple raison que l’année 2017 fut l’année du Burkina Faso, puisque le pays a accueillit le 6ème TAC à travers la conférence au sommet des chefs d’Etats et de gouvernements des deux pays.
Dans les détails, nous pouvons citer :
La grande mobilisation autour du 5ème TAC à Yamoussoukro avec une participation très remarquée de la COPTAC à travers les medias y compris la RTI où nous avons même lancé un appel pour le succès de l’événement.
Le ‘’ Don symbolique’’ au Ministère de la Femme, de la Solidarité nationale et de la Famille, afin de soutenir les victimes des inondations de septembre 2016.
Le don était composé de:
500 kg de Riz; 200 Kg de Maïs ; 80 Litres d’huile et des Nattes, le tous d’un montant cinq cent milles (500.000) francs.
Des Prières ont été dites à la Grande Mosquée de Ouagadougou et la messe d’action de grâce à la Cathédrale de Ouagadougou en novembre 2016 afin que la Paix et la cohésion sociale habitent nos deux nations.
La visite de Courtoisie d’une forte délégation de la COPTAC partie de la Côte d’Ivoire, chez le Mogho Naba, afin de l’informer de l’existence de notre structure et surtout recueillir ses conseils et bénédictions pour la réussite de notre mission.
De janvier 2017 à Mars 2017, une campagne de sensibilisation a été initiée auprès des autorités Burkinabé et ivoiriennes en charge de la plateforme du TAC avec pour objet de leur faire connaitre nos attentes et le soutien institutionnel dont nous avons besoin pour mener à bien notre mission.
Lors du dernier TAC à Ouagadougou, nous avons entrepris une vaste communication dans tous les medias afin de sonner la mobilisation autour du TAC 6 que nous avions qualifié de TAC de la Maturité. Nous avons été assez satisfaits pour assisté à un déferlement humain à l’aéroport international de Ouagadougou afin de montrer aux yeux du monde l’excellente relation existante entre nos deux pays et surtout lancer un message fort à nos dirigeants afin qu’ils sachent dissocier leurs émotions personnelles à la chose commune.
Dans le mois de Septembre 2017, précisément les 27, 28 et 29, notre structure a initiée la 1ère édition de la célébration du TAC à Ouagadougou sous le Haut Patronage de SEM Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso et le Parrainage de leurs excellences Monsieur Paul Kaba THIEBA , 1er Ministre du Burkina Faso et du Co parrainage de Monsieur Alpha BARRY ,Ministre des Affaires étrangère , de la Coopération et des Burkinabé de l’étranger.
Il faut noter que cette 1ère édition de la célébration du TAC, tenue à la salle des banquets de OUAGA 2000, était constituée de deux (02) rubriques dont un Panel et un Gala de Distinction retransmis en direct sur la RTB pour le gala de distinction.
En ce qui concerne Le PANEL
IL était placé sous la coprésidence de leurs excellences Seydou ZAGRE, Directeur de cabinet de la Présidence du Faso et Kapieletien SORO, Ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire au Burkina Faso près le Niger, avec pour invité spécial le secrétaire permanent du Forum des Rois et Chefs Traditionnels d’Afrique, Sa Majesté Tchiffi Zié Jean Gervais. Les participants étaient estimés à 500 personnes (administrateurs, chefs traditionnels, les operateurs économiques, les étudiants, les travailleurs, les éleveurs, les professeurs d’universités et les officiels).
Le thème du panel : « Abords stratégiques des conflits intercommunautaires : Contributions de la chefferie traditionnelle. »
Pour le GALA DE DISTINCTION
Cette rubrique, dotée du ‘’Grand Prix du TAC’’ a été essentiellement initiée, pour encourager et surtout stimuler davantage les uns et les autres à cultiver l’esprit du TAC dans leurs différents champs d’interventions. Elle encourage tous les acteurs du monde économique, socioculturel, et politique à susciter les actions de développement telle que la création d’entreprises, l’insertion des jeunes et des compétences de nos deux pays dans le tissu économique, socioculturel selon leur résidence afin de lutter efficacement contre la pauvreté grandissante et assurer l’épanouissement de nos différentes couches sociales sur tous les plans.
Lors de cette rubrique qui mettait fin à la 1ère édition de cette célébration, nous avions enregistré la présence de SEM Alpha Barry, Ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabé de l’Etranger, et son Ministre délégué, Madame Rita BOGORE, l’ex ministre de la culture et des arts, Monsieur Tahirou BARRY et SEM Seydou ZAGRE, Directeur du Cabinet du Président du Faso, comme principaux officiels. Avec à leur coté, Sa Majesté TCHIFI Zié et le représentant de sa Majesté le Mogho Naba. Etaient aussi présent, d’éminents opérateurs économiques, hommes de culture, des acteurs de la société civile et des organismes de développement et de biens d’autres couches sociales.
En entendant le déroulement de notre programme d’activité de l’année 2018, dont la plus grande part sera accentuée en Côte d’Ivoire, nous appelons toutes la population ivoirienne à faire sienne les clauses du TAC qui traitent des questions aux enjeux socioculturels, politiques et économiques positivement perceptibles. Ainsi, nous lançons un vibrant appel à l’ensemble des populations de nos deux pays afin qu’elles s’impliquent davantage dans cet idéal afin de faciliter la mise en œuvre de toutes les décisions sur le terrain.
A cet effet, pour le 7ème TAC qui se tiendra en 2018 à Yamoussoukro en Côte d’Ivoire, Nous lançons un appel à l’ensemble de la population ivoirienne y comprise, les populations étrangères qui y vivent, afin qu’elles se mobilisent autour de cet événement que nous qualifions de messe de l’amitié et de la coopération entre nos deux peuples au delà de nos deux pays.
Connaissant l’hospitalité légendaire du peuple ivoirien, nous demandons subséquemment que la population ivoirienne dans toute sa composante fasse office de ce caractère humaniste à l’endroit de toutes les délégations qui seront présentes pour les travaux.
Nous vous présenterons un tableau récapitulatif des lauréats de la 1ère édition du ‘’ GRAND PRIX DU TAC ’’ que nous avions initiée le 29 /09/2017 à OUAGADOUGOU à la salle de banquets de OUAGA 2000, pour stimuler et encourager les acteurs du monde Economique, Politique, Socioculturel et Sportif, afin que l’idéal du TAC puisse les animé dans leurs champs d’actions et au quotidien.
Mais avant nous disons un grand merci à l’ensemble des personnes de bonne volonté et à tous les partenaires qui nous ont accompagnés quelques soit la manière dans le cadre de l’organisation de la 1ère édition à Ouagadougou, en entendant la 2ème édition qui aura lieu en Côte d’Ivoire en 2018. Comme partenaire, nous pouvons citer :
« Telecel Faso et le Groupe PLANOR ; la RTB; la RTI; l’Office Ivoirien des Chargeurs ; le Groupe EBOMAF; Le Groupe TGI/TSR ; GéSèB S.A (General Service du Burkina / CI- BF ; CIM METAL GROUP (CIM FASO et CIM IVOIRE) ; le Groupe Edifice ; Fidelis Finance (BF /RCI) ; le Port Autonome d’Abidjan; Barold Assurance ; le Groupe SIAAO; Bio Mark Traders ; NAFASO SA ; le Groupe VELEGDA ; Aube Nouvelle ; YHELY PRODUCTION ; NOV’AFRIQUE ; CI-PLAQUE ; Les Editions SIDWAYA ; l’ensemble des institutions étatiques de bonne volonté, la chefferie coutumière ivoirienne et burkinabé, le Forum des Rois et chefs traditionnels d’Afrique »
Il faut noter que la tenue de cette activité a été possible grâce à la magnanimité et au Patronage de Son Excellence Roch Marc Christian KABORE, le Président du Faso, puis des co-parrainages de leurs excellences Monsieur Paul Kaba THIEBA, Premier Ministre du Burkina Faso et de Alpha BARRY, Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Burkinabé de l’Etranger.
