Mesdames et Messieurs,
chers ami.e.s de la presse nationale et internationale,
chers ami.e.s de la communauté culturelle,
chers frères et sœurs,
je vous remercie d’être venus à cette conférence de presse.
Dans le souci de promouvoir la femme et la culture ivoirienne, nous nous sommes engagés depuis plusieurs décennies dans la promotion du Concours de beauté Awoulaba Côte d’Ivoire.
Même s’il n’est plus à présenter, il convient de souligner qu’il s’agit du premier concours de beauté féminine basé sur les canons africains et initié aux premières heures par feu Pol Dokoui, journaliste émérite et collaborateur cher à notre cœur, pour qui nous avons une pensée pieuse en ce jour.
C’est ainsi, qu’en 2016, j’ai succédé au Président Lago Jonas ici présent. Depuis, cette date, je suis à la tête du Comité Awoulaba Côte d’Ivoire, et nous travaillons sans relâche avec le Bureau Exécutif à la promotion et à la valorisation de la femme ivoirienne voire africaine avec toutes les valeurs qu’elle porte.
Après plusieurs années d’expérience et une assise nationale consolidée, le CACI, s’est inscrit à l’idée de notre tutelle et partenaire, le Ministère de Culture et de la Francophonie, et du Bureau UNESCO Abidjan, qui nous suggèrent lors de la finale de l’édition 2022, d’internationaliser le Concours Awoulaba.
Le bureau exécutif s’est réjoui de cette proposition et a décidé de commencer par l’édition 2023.
Notre projet nouveau a tout de suite rencontré l’adhésion de nos pairs des pays de la sous-région qui ont bien voulu adopté la dénomination ivoirienne Awoulaba pour l’identification de ce concours en vue de la valorisation inclusive de la femme africaine, à travers ses atouts physiques, intellectuels et ses valeurs socio-culturelles.
Nous ne vous cachons pas la fierté et l’honneur que nous avons ressenti lorsque nos pairs ont totalement adhéré au concept made in Côte d’Ivoire, qu’est Awoulaba.
Il s’agit notamment du Mali, de la Guinée, du Ghana, du Niger, du Togo, du Bénin et du Cameroun.
Mesdames et Messieurs,
je porte donc à votre connaissance l’avènement du Concours Reine Awoulaba d’Afrique, premier concours international de beauté féminine basé sur les canons de l’esthétique africaine authentique.
Par-delà, et dans un souci d’harmonisation, les comités nationaux des différents pays, qui avaient chacun leur dénomination (Miss femme ronde au Bénin par exemple) ont décidé à l’unanimité d’adopter l’appellation Awoulaba, pour désigner cette reine de beauté africaine qu’on élira donc dans le cadre du Concours Reine Awoulaba d’Afrique après les sélections nationales dans les divisions CORA pays.
Pour épouser ce vaste projet du concours Awoulaba dans la sous-région, nous avons dû aménager nos textes fondateurs ; c’est pourquoi, le COMITE AWOULABA COTE D’IVORE (CACI) qui a une visée nationale change de dénomination et devient le COMITE REINE AWOULABA D’AFRIQUE (CORA), avec une visée internationale.
Le CACI dont je suis la Présidente statutaire, a changé de dénomination et s’appelle désormais le CORA Côte d’Ivoire (CORA-CI), entendons Comité Reine Awoulaba d’Afrique-Division Côte d’Ivoire.
Chers ami.e.s de la presse,
voici donc l’objet principal de cette conférence de presse convoquée aujourd’hui.
Par ailleurs, il nous revient de façon régulière par voie de presse notamment, des faits de diffamations, d’usurpation de titre et de voie fait commis par un affabulateur qui n’est personne d’autre que l’ancien secrétaire général du CACI.
En effet, ce dernier s’est auto-proclamé Président du Comité Awoulaba Côte d’Ivoire, dont je suis la présidente statutaire, au risque de me répéter, et se répand dans des diatribes usurpatoires et diffamatoires à l’encontre du CORA et de ma personne.
Une entreprise funeste aux effets pervers qui vise la déstabilisation du Comité et la récupération du concours à des fins personnels par un individu qui ne s’est par arrêté à ses lubies déstabilisatrices au sein du Comité mais va bien au-delà aujourd’hui.
Il avait dit par exemple à mon vice-président ici présent le Commissaire Waka et je cite : « Waka fait on va dégager Géneviève pour prendre le concours là ».
L’adage bien de chez nous dit, c’est sur cadavre on ment.Il a osé organiser un point de presse il y a presque 2 semaines pour annoncer la tenue du concours Awoulaba en Côte d’ivoire sous sa direction ; sans avoir dit que j’avais été déchu de mon poste pour faute lourde.
Aujourd’hui, mesdames et messieurs les journalistes, par cette mise au point, je veux vous rassurer et à travers vous, rassurer l’opinion publique nationale et internationale que nous continuerons d’œuvrer pour la crédibilité et l’image de marque du Concours Awoulaba que je me suis évertuée à rehausser et à hisser toujours plus haut dans la grisaille culturelle ivoirien et même au-delà de nos frontières.
Nous sommes des acteurs culturels au service du développement socio-culturel de notre pays et nous attelons à faire notre part.
Nous sommes dans un pays de droit, c’est pourquoi nous laissons la justice suivre son cours dans le cadre de la plainte que nous avons déposé contre cet usurpateur.
Chers Ami.e.s,
retenons ensemble que le concept Awoulaba s’internationalise, il va au-delà de nos frontières.
Le CACI devient CORA-CI, c’est-à-dire le Comité Reine Awoulaba d’Afrique division Côte d’Ivoire.Aussi, retenons que le Concours Reine Awoulaba d’Afrique (inter états) tiendra sa 1ère édition en 2024 ici en Abidjan avec la participation du Mali, de la Guinée, du Ghana, du Niger, du Togo, du Bénin et du Cameroun.
Pour terminer, dans très peu de temps, nous allons vous convoquer à nouveau comme chaque année, pour le lancement du Concours Reine Awoulaba d’Afrique (division Côte d’ivoire).
Je vous remercie.