La campagne pour les législatives bat son plein à Dabakala, notamment pour le candidat RHDP et député sortant, l’honorable Aboubakary Coulibaly. Hier dans la mijournée, en marge d’une journée pleine de terrain, le député sortant s’est posé quelques minutes dans son QG le temps d’une conférence de presse en visioconférence avec les journalistes.
Répondant à diverses questions sur la campagne. Aboubakary Coulibaly a défendu le bilan des actions de l’Etat dans le département de Dabakala et rappeler les raisons qui l’amènent à se représenter. « La campagne se déroule très bien sur le terrain, et je suis satisfait de l’accueil que mes parents me réservent dans les villages. Une semaine pour une campagne de cette envergure, ce n’est que pour des mises au point, des éclairages à faire aux parents. Nous sommes en campagne depuis 10 ans, avec les actions concrètes de développement que nous avons pu réaliser grâce à nos orientations à l’Hémicycle. », a fait savoir le député qui a parcouru plus d’une centaine de village.
Aboubakary Coulibaly qui est apparu très dynamique, calme et apaisé, il a aussi réagi aux quelques grabuges constatés sur le terrain venant du camp de son adversaire.
Aboubakary Coulibaly a jugé globalement bon l’esprit de la campagne en dépit de ces actes isolés de déchirages d’affichages et des piques qu’ils s’envoient lors de leurs meetings. Il a trouvé son adversaire peu serein au regard de certains propos qu’il tiendrait. N’empêche, il a passé un message fort : « Notre bilan de 10 ans dans le département est inattaquable contrairement à celui de ceux qui ont été maire, président de conseil régional, ministre dans notre région et notre département pendant très longtemps, ne fuyons donc pas la réalité des faits. Nous défendons nos acquis et sommes conscients des enjeux de développement.
Aux populations, je leur demande d’aller voter pour moi le 6 mars dans la paix et la discipline et c’est ensemble que nous allons gagner.
Nous avons tous la responsabilité de la bonne atmosphère pendant ces élections, alors soyons responsables », a dit Aboubakary Coulibaly.